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SOPHIE DE HENAU

Comment passer du « je me soigne » à je me guéris »

Je me soigne ou je me guéris ?

Comment passer du « je me soigne » à « je me guéris » ? Pourquoi se préoccuper de ce passage, « pas-sage » ?

La majorité de la population se retrouve dans le « je me soigne ».

Résultats ? Des maladies chroniques à gogo, des trous énormes dans la sécurité sociale qui ne peut plus suivre, des malades assistés plutôt que responsables, des entreprises pharmaceutiques qui s’engraissent au détriment de la santé des citoyens.

Avant de passer au comment allons voir ce que chacun de ces verbes signifie du point de vue de l’humain, du comportement.

Une personne qui se trouve dans le « je me soigne », se vit comme un patient victime de quelque chose et voit le médecin, le thérapeute comme un grand manitou. C’est le syndrome de la blouse blanche. Tout ce qui sort de sa bouche est vérité. Le patient gobe ses paroles comme une vérité incontestable. Il vit sa maladie au lieu de vivre sa vie. Il voit ses symptômes comme quelque chose de mauvais, comme une fatalité, et donc l’objectif à tout prix sera de soulager ceux-ci.

Lorsqu’ils ont disparu, il considère que le traitement a fonctionné, qu’il est guéri. Qu’il s’agisse de médicaments et/ou d’opérations.

Le problème du patient dont le profil est « je me soigne » est qu’il considère que la cause à ses troubles, maladies et/ou douleurs chroniques, est extérieure, de même que la solution.

Aucune recherche intérieure, ou très peu.

Le malade se croit donc guéri, et se trouve au final, la même personne qu’avant la maladie, mais sans douleurs et sans symptômes.

Allons voir maintenant du côté du profil « je me guéris »

Ce type de malade est curieux, il cherche, il s’instruit, il se forme, il s’éduque. Lorsqu’il arrive devant le thérapeute, le médecin, il a de quoi poser les questions judicieuses, il a de quoi mettre en doute sa parole s’il sent que ce n’est pas bon et juste pour lui à tout point de vue, bref c’est une personne responsable.

Au contraire de la victime, il est conscient que les causes ne sont pas extérieures mais en intérieures, elles sont de son fait. Il connaît une des lois de l’univers qui est celle « je récolte ce que j‘ai semé ».

Sa démarche consiste à travailler sur les 5 plans de la maladie, dans une vision globale. Les plans énergétique, physiologique, émotionnel, psychologique et symbolique. Il va mettre en musique son environnement de manière à ce qu’il le serve et non le contraire. De manière à ce qu’il soit non seulement idéal pour déclencher la guérison , mais surtout pour reconnecter sa puissance de guérison personnelle, intérieure.

C’est comme ça que le thérapeute, le médecin, deviennent un guide pour lui.

Un patient de ce profil sort de la maladie, grandi, car il l’a non seulement remerciée, mais il en a aussi découverte le cadeau, le sens le pourquoi.

C’est ce qui fait toute la différence, entre le « je me soigne » et le « je me guéris », entre poser des actes automatiques, robotiques, dictés pas les diktats dogmatiques des médecins, thérapeutes et les actes remplis de sens, celui du cadeau de la maladie.

Dans un cas le patient survit, dans l’autre il vit, et puis il y a tous les types intermédiaires.

Comment fait-on pour passer d’un type à un autre ?

  • En travaillant sur les 5 plans, avec différents médecins, thérapeutes, coachs,
  • En se connectant à son Étoile E.N.E.R.G.I.E, étoile des 7 Nutritions, dont l’alimentation fait partie. Pour en savoir plus cliquez ici.
  • En s ‘éduquant, avec des livres, des formations, et une école de la santé comme celle que j’ai créée
  • En ayant toujours en tête une vision globale
  • Et il faut également un travail ardu, de l’apprentissage, de l’éducation, de la détermination, de l’ engagement, de la discipline et de la motivation.

Quand est-ce possible de passer d’un type à l’autre ?

  • Après avoir tourné en rond plusieurs fois dans son labyrinthe de maladies et/ou douleurs chroniques.
  • Lorsqu’on dispose de suffisamment d’énergie pour faire la démarche, et ensuite le switch

Il est facile de rester dans la conscience victime, elle rassure, elle fait partie des habitudes, de la zone de confort inconfortable.

Il faut être courageux (même racine que coeur) pour aller fouiller dans mes ombres, pour découvrir ce que j’ai semé, pour découvrir que je suis imparfait.e, pour mettre à mal ce qui me permet de tenir debout, à savoir l’égo et rentrer dans l’humilité. Car oui guérir demande de l’humilité !

C’est de la folie d’espérer des résultats différents avec des comportements, des pensées, identiques. Je crois que c’est Einstein qui a dit cela 😉

J’ai écrit que la majorité de la population est dans le « je me soigne », donc une infime est dans l’autre type. Et encore plus infime que cela, car peu vont jusqu’au bout, à savoir jusque dans cette recherche du cadeau (notamment avec un des outils les plus puissants qui existe, les symboles).

La particularité des symboles, c’est qu’ils répondent à l’approche personnalisée, individualisée des soins, de la sortie du labyrinthe des maladies chroniques.

Seul le symbole donne accès aux profondeurs, à l’inconscient. Il est le pont entre les +/- 5% de comportements conscients et les +/- 95% de comportements inconscients, robotiques.

Ces derniers sont élaborés par la culture, l’environnement, le transgénérationnel, avant nos 7 ans.

Voilà pourquoi il est si compliqué de passer de l’un à l’autre, de changer, de devenir quelqu’un d’autre.

Un autre guéri et non plus le même soigné !

Lorsqu’on part dans la langue des oiseaux, on découvre que soigner renferme beaucoup de choses cachées qui ne sont pas en notre faveur et dont on voudra sortir à tout prix 😉  Laissons Luc Bigé nous dire quelques mots de la langue des oiseaux  » Les mots nous parlent au moins autant que nous les parlons. Certes, ils ont un sens conventionnel sur lequel tout le monde s’est mis d’accord au fil des siècles mais ce sont aussi des symboles, tant par la géométrie des lettres qui les composent que par les sonorités qui les agitent. C’est cela la langue des oiseaux encore appelée « la langue des anges ». Comprendre ce langage c’est reconnaître que derrière les significations parlées conventionnelles se cache un métalangage autonome qui est celui de l’inconscient »

Examinons maintenant le verbe soigner. On y entend tour à tour : « sois-nier » qui devient « sois-niais » ! Quant au soignant il devient « sois-niant ». Vous comprendrez donc que je préfère et que je vous souhaite de vivre guérir comme « gai-rire » 🙏 😊

Guérir ne signifie pas que la situation plombante n’a jamais fait partie de ma vie, cela signifie que je ne laisse plus la situation plombante diriger ma vie, et plus, cela signifie que j’ai transmuté la situation !

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